Paris Photo, c'était du 13 au 16 novembre. Je ne vais pas vous dire qu'il fallait y aller, non... Paris Photo est tout sauf obligatoire. C'est gigantesque, c'est bondé, c'est plein de gens qui n'ont rien à faire là, c'est plein de gens qui se trouvent important, mais surtout c'est plein d'images... tellement plein que ce serait une folie de tout voir. Moi par exemple, je n'en ai pas fait la moitié... C'est plein d'images que l'on a déjà vu, c'est plein d'images qu'on aurait aimé ne pas voir, c'est plein d'images qui ne nous intéressent tellement pas qu'on se dit que nous aussi peut être on a notre place dans la photographie. Mais c'est aussi plein d'images qui l'espace d'une seconde vous font oublier où vous êtes, car vous n'êtes qu'avec elle. (Je vais peut être arrêter le lyrisme, suis pas sûre que ça m'aille au teint !!).
Cette année, le Japon est à l'honneur. Alors oui, on bouffe du Araki, mais on en (re)découvre plein d'autres : Shoji Ueda et sa poésie en tête.
Cette année, le Japon est à l'honneur. Alors oui, on bouffe du Araki, mais on en (re)découvre plein d'autres : Shoji Ueda et sa poésie en tête.
On voit aussi beaucoup de photographie contemporaine, tellement d'ailleurs qu'on ne sait plus quoi faire de ses yeux voici ce que j'ai retenu :
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